le Mirion 25 Filandor du 1563ème cycle à 13h49
*** Le temps était maussade au pays et tandis que l'Elfe partait au pays du sommeil celui-ci sembla apparaitre doucement. Constatant une foule statique de porteur connus face à lui, il ne put s'empêcher de voir avec stupeur à l'aide de gros yeux ce qui se présentait à lui.
Détournant la tête derrière lui, il put constater une grande porte fermé; ressemblant étrangement à celle d'une cité qu'il connaissait que trop bien. C'est alors qu'il se souvint d'une musique qui vint à prendre place et au fur et à mesure les visages semblèrent se flouter comme s'il perdait sens à la vision qu'il avait jusqu'à présent.
Un pas de danse, un second puis les paroles se mirent à en sortir, ***
Je suis Delion l'Arténien,
En jouant de fions
Je fais tchick tchicki
Boum tchick tchiki boum
C'est moi Delion l'Arténien
La coqueluche de tout les Arténiens
Et puis quand je danse
Tout redevient tchick tchicki boum tchick tchicki boum
Les gardes ils chantent, ils dansent
Comme ça ils balancent
Comme c'est charmant
Plein d'immolation
La fièvre de la Destru
Si elle te prend ne résistes pas
Comme une fille qui s'offre à toi
Ouh
Si tu aimes l'immo
Vient donc danser avec Delion
Et tu chanteras tchik tchicki boum tchik tchicki boum
*** Et tandis qu'il dansait, l'un des visages flouté sembla s'avancer avec calme tandis qu'il avait une arbalète en main ce fut lorsque le carreaux fut armé que son corps se reproduisit en une bonne demi douzaine et que son visage apparut. Un sourire moqueur et presque enjoué. L'arbalète en joue, il ne fut pas long à lâcher les carreaux.
Un déhanché permis d'en éviter deux, une second deux autres mais... les deux derniers finirent dans les genoux laissant qu'à Delion le loisir de stopper sa chanson au détour d'un,
***
Oups.
*** Se laissant tomber à la renverse, il eut l'impression de tomber au fond d'un lac tant ses vêtements semblèrent se détrempé totalement. Au réveil, la théière semblait par terre, sa robe trempé et une belle bosse semblait à présent derrière son crâne.
***
"Si ça résiste, frappe. Si ça résiste encore, frappe plus fort. Si ça résiste toujours, arrête, c'est un mur"
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