Un rideau de brume se lève, nous sommes dans les montagnes au sud d’Algornar grande ville actuelle de l’Union de Gor’Kaggar ancienne capitale dans laquelle vécu le Grand Vhon Guttrak.
Les peintures tribales et les colifichets portés par les Orks présent vous font dire que la scène se passe bien avant l’arrivé de ces monstres dans les plaines proche de la grande Foret.
Nous sommes à la grande époque, où le peuple de la force habite encore la montagne, la partageant avec les Grands Dragons Rouge, bataillant chaque jour pour leur survie et celle de leur meute.
Les Trolls et autres Géants à deux têtes font partis des ennemis commun et héréditaire de tous les clans Orks. Bêtes perverses par excellence avec les quelles le peuple de la force a l’habitude de se battre. Chaque Tribus prenant les armes afin d’imposer la suprématie de leurs propres cultures, de leurs croyances.
La caverne est plongée dans la pénombre, difficilement éclairée par un feu en son milieu. Gro’Slack’, membre du clan Ork du centre de la montagne reconnaissable à sa tronche de Troll tatoué sur la partie gauche de son visage s’avance. Il dévisage chaque Gnutag présent dans ce sombre endroit. Il y a Vurk’Nok loup d’guerre du clan des Brav’, reconnaissable à sa hache. À sa droite Kor’m’Aâgash jeune disciple shaman du clan du Haut, portant son bâton de shaman orné d’un crâne de Troll dans lequel son sertie deux cailloux de prière. Au fond de la grotte, une silhouette imposante se démarque, K’môr’ l’Grand lui aussi membre du clan du centre se découvre, son maillet de puissance dans une main, un gigot dans l’autre. Gro’Slack continu de faire le tour de l’assemblée, soit une quinzaine de frères présent, pour la plus part fière adepte de Rasgor. Presque touts les clans sont représentés, Le clan du Haut, le clan du centre, le clan des Brav’, le clan de la petite montagne, un Hordeux Rall’Sa’Rkââ sombre et impitoyable et un Souffleux Ablariak guerrier puissant surnommé La souffleuse, à cause du son strident qui s'échape de sa hache lorsqu'il la fait tournoyer autour de lui.
Ils se voyaient tous depuis maintenant un cycle, et l’heure de la décision était enfin venue...
Las des pertes de frères subies à chaque guerre des clans, de leur perte d’identité, de l’évanouissement de leur culture Ork face à la férocité des attaques des Géants, Gro’Slack ne voyait qu’une alternative à la sauvegarde de leur Âm’Vert’. Suivre rigoureusement les préceptes de Rasgor.
Il les avait tous appelé et choisis il y a un cycle parce que tous partagé la même vision rigide et extrême du Dogme de Rasgor. Tous se distingué par ce sens exacerbé de la bestialité, de la furie, de la rage. Tous laissé libre cours à leur instincts. Le bien, le mal, la lâcheté et la bravoure étaient des concepts qui leur semblaient totalement étranger. Seul leur importé l’enseignement de leur Dieu, la préservation de l’Âm’Vert’ du peuple de la force et la destruction des Trolls et des Géants qui bénissaient d’autres Dieux que ceux du Panthéon Ork, ou tuaient perversement pour le plaisir.
A la fin du rassemblement, aucun des Orks présent ne retourna dans son clan d’origine, ils restèrent ensemble, soudé dans cette sombre caverne qui vu naître l’Ork’Hestre d’l’Âm’Vert’, petit clan Ork marginale où le culte de Rasgor était prédominant. La vie de se clan étant voué à l’annihilation total des autres civilisations sans culture de la montagne.
Ils étaient des maraudeurs, parcourant des kilomètres par jour, bivouaquant non loin des camps de Géants ou des nids de Troll, tendant habillement des embuscades, à la manière des loups des montages, acculant leurs proies au bord des falaises afin de les y pousser. Ils tuaient, dépecer les cadavres encore fumant et les donné en offrande à Rasgor afin que celui-ci protége leur l’Âm’ Vert’, l’Âm’Vert’ du peuple de la force.
Ils étaient tous de bon Guerriers, certes, moins fort que certains Guerriers des clans du Souffl’ ou de la Hord’qui avaient repoussé des Dragons, mais, ce qu’ils n’avaient pas en force, ils le compensaient en Rage et en Bestialité, tendant toujours plus d’escarmouche, frappant la nuit à plusieurs la tante du chef de tribu de Géants, égorgeant les juvéniles afin qu’ils ne grandissent pas, étripant les femelles afin qu’elles n’enfantes pas, bref, laissant libres cours à leurs instincts, à leurs bas instincts.
Le nom de leur faction, l’Ork’Hestre d’l’Âm’Vert’ leur vient du fait qu’après chaque escarmouche, après chaque piège tendu aux pervers. La légende dis que lors du dépeçage et des offrandes à Rasgor, un dénommé Muzii’Kôss, entonné toujours une ode à Rasgor en tapant sur les peaux tendu des Trolls et autres abominations. Suivit plus tard par la quasi totalité des membres du clan qui s’étaient confectionné au fur et à mesure de leurs pérégrinations morbides de jolis instruments avec les restes d’ossements et de peau de leurs victimes. Aussi, lorsque les autres clans Orks entendaient au loin, les bruits de Tambours, de fifres et de cors entonnant les marches funèbres, ils savaient que la nuit apporterait à Rasgor son lot d’Offrandes. C’est alors que Gro’Slack pris conscience que ces funestes musiques apeuré les ennemis, leur coupant toute possibilité de riposte, les chants qu’entonnaient les Gnutag d’l’Ork’Hestre glacé littéralement le sang des sans culture, laissant leur corps sans défense face aux coups de maillet destructeur des guerriers Orks enragés, il décida alors de scinder le clan en deux, d’un coté les Muzikos en hommage au gnutag Muzii’Kôss tombé face à un Troll lors d’une embuscade, guerriers jouant de la musique avant la charge sur le hérétiques bestioles des montagnes. Et de l’autres les Danseur’d’Guerr’, habille guerriers passé maître dans l’art au combien difficile de la danse du maillet de puissance, ils ont été nommé Danseur’par les autres clans Orks à cause des moulinets qu’ils faisaient avec leurs maillets au-dessus de leurs têtes avant que ceux-ci ne s’abattent violement sur les crânes de leurs ennemis.
L’Ork’Hestre de l’Âm’Vert’ était ainsi naît, de la volonté de son fondateur Gro’Slak, désireux de revenir à l’essentiel de la culture Ork, bestiale et authentique. Ils eurent de grands moments, connurent de grandes batailles et subirent de lourdes pertes. Se fut ainsi durant plusieurs centaines de cycles, de Gro’Slak le fondateur, l’autorité du clan était passé à Gro’Vulbak, dit le moche, une main de Géant tatoué sur le torse. Il était bon guerrier mais piètre tacticien, l’Ork’Hestre connu de lourde perte durant cette période, fort heureusement, il mourut rapidement, tué par un bloc de Granite lancé par un Shaman Géant. Son fils pris alors le relais, Gro'Ssdoguett' avec un crâne de loup tatoué sur le bras, ensuite vint Gro'Co'Shlock' un aile de dragon sur les épaules et enfin se fut le tour de Gro’Mech’Plek, une tête d'Ogre tatouée sur le ventre, il était pour certain Rasgor réincarné, Bestial, Noir, Enragé, Furieux, les qualificatifs manque pour retranscrire avec quelle détermination il engagé les combats, faces aux Trolls, Géants et Ogres. Il était très fort et bon tacticien, de plus, il avait la sagesse d’écouter les shamans de son clan avant de se lancer à l’assaut des camps des sans culture. Seulement, au fur et à mesure d’enfiler les embuscades et les escarmouches meurtrières pour ces ennemis, il prit trop d’assurance et voulu se mesurer à une civilisation plus complexe, plus dure à exterminée. A l’époque, Gro’Mech’Plek eu vent d’un peuple, vivant au-delà de la ceinture montagneuse, bien plus loin que les grandes Plaines s’entendant à perte d’horizon après les montagnes. Des histoires lui parvenait sur un peuple plusieurs fois centenaires, où les êtres le composant avaient le don de vie éternelle, peuple vouant un culte à la raison, à la nature, a la connaissance. Tout ce qui allait à l’encontre de ses croyances. Trop de temps passé à démembrer Troll, Géant et autres hérétique l’avait lassé, il rêvait plus grand, il voulait annihiler cette culture décadente de ces nouveaux ennemis, les Nashkis. Il réunissa alors le Shaman de l’Ork’hestre Tara’Lak, ainsi que le plus grand de ses Danseur’d’Guerr’ Mar’Awok et le plus doué de ses Muzikos Brok’Kro’Mash, leurs exposa son plan, leurs expliqua ces envies de découvrir un nouveau peuple civilisé, croyant en autre chose qu’en leur instincts et leur bestialité et leur demanda de le suivre dans cette nouvelle et longue Marche Funèbre, pour la gloire de Rasgor. Tous acceptèrent de suivre leur Tambour’Maj’Ork, persuadé que celui-ci les emmènerais à la victoire pour le réveille de l’Âm’Vert’ du peuple de la force. Cependant, ils décidèrent de laissé derrière eux, dans la grotte qui vu naître leur clan, une Gnulag du clan et un jeune Muzikos, afin que ceux-ci surveille leur Tanière et conte les exploits futur de leur clan.
L’Ork’Hestre quitta ses Montages pour la plaine et la grande Foret un jour de forte chaleur, tout instrument dehors, entonnant en mémoire de leur ancêtres qui ne connurent que la montagnes une dernière ode à Rasgor.
Les deux Gnutags resté dans l’antre de l’Ork’Hestre n’eurent plus jamais de nouvelles de leur meute, et par désespoir décidèrent d’intégrer un clan proche de leur caverne. Ainsi, Fram’Ush Naab Odib et Grham’T’Ktor les deux seuls survivants du clan de l’Ork’Hestre d’l’Âm’Vert’ devinrent les seuls détenteurs des légendes des Fidèles de Rasgor.
Une légende dis que Gro’Mech’Plek arriva avec sa meute à la lisière de la grande Ktor, qu’ils pénétrèrent jusqu’au cœur de la foret en entonnant leur Marche, arrivé au cœur de la grande Foret, et après avoir fracassé un nombre impressionnant de crânes Nashkis, la sombre Musique se tue, et un cris unique se fit alors entendre : RAAASGOORRRRrrrr…et puis plus rien.
RetourCoutume de l’Orkestre : le Pog’Orc
Cette tradition ancestral remonte à l’origine de l’Orkestre, alors que Gro’Slak était encore à la tête de l’organisation. En effet, malgré la forte union qui les soudait, les anciens membres des Klans conservaient de vieilles rancoeurs qui pouvaient éclater à tout moment. Ainsi, les nombreuses chasses menés par Gro’Slak tournait souvent à la démonstration de force, et parfois même au pugilat : plutôt que de s’entraider, les Orcs étaient en compétition.
Alors que suite à une chasse qui avait mal tourné les membres présent se rejetaient mutuellement la faute, Muzii’Kôss se mis à jouer, comme à son habitude. Un rythme martial, rapide et froid. Puis se fut la mêlée général : tout le monde tapait sur tout le monde, sans distinction.
Gro’Slak hurla d’arrêter. Il ordonna aux gnutags présent de poser leur arme à terre et de retirer leurs plaques d’armures. Puis se tournant vers Muzii’Kôss il lui ordonna de jouer. Le Pog’Orc était né. Depuis ce jour, il est de coutume de se lancer dans une baston non mortelle après chaque chasse, pour se débarrasser des frustrations accumulées.
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